Avec Coeli et Τerra, Maurice Bourbon entame au fil des ans une réflexion approfondie sur la forme du concert, en tentant d’en gommer les conventions et de répondre, dans le même temps, aux caractéristiques uniques, spatiales et acoustiques, d’un lieu...
Avec Coeli et Τerra, Maurice Bourbon a approfondi, au fil des ans, une recherche visant, d’une part, à s’affranchir des conventions formelles du concert, et d’autre part à produire un concert unique et original, adapté à chaque lieu.
Maurice Bourbon utilise à cette fin trois concepts, le Locus solus, le Sur un fil, le Il était une voix….
Locus solus
C’est l’appropriation spatiale et acoustique d’un lieu. Il mène à un prototype de concert, qui ne sera jamais refait à l’identique ailleurs.
Sur un fil
La musique du concert – spectacle s’enchaîne du début à la fin. Le programme peut mêler ainsi des œuvres du répertoire, des créations, des musiques de transition.
Il était une voix...
Les musiques sont reliées par un fil textuel (histoire, lectures), pouvant facilement inclure toute autre expression artistique : danse, théâtre, vidéo, cinéma…, ou une collaboration avec d’autres chœurs.
Parmi les récents concerts de Coeli et Terra, beaucoup ont utilisé les concepts Locus solus et Sur un fil, comme :
Date de publication : lundi 21 mars 2011
Association LA CHAPELLE DES FLANDRES - Pôle d'art vocal Nord-Pas de Calais
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